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Moi : Hum.. ..... : Joyeux anniversaire Joyce ! Moi : Merci Jane 'mettant un coussin sur ma tête'. Jane : Quesque tu fais ? Moi : Je dors, sa ne se voit pas ? Jane : Ha non. J'en est marre de te couvrir, Mlle Moréno commence à comprendre et sa vas me retomber dessus. Moi : Ok, ok. Je me léve. Jane : De suite !
Je grogna puis sortie le coussin de sur ma tête. J'ouvris un oeil et une lumière aveuglante me broulla la vue. Putain de soleil des le matin. Je me traine hors du lit en me cachant les yeux. Je sors de la chambre et rentre dans les douches communes après m'être étiré de tout mon long. Je fais couler l'eau sur mon corp. J'ai pas envie d'aller en cour. J'explique, je vis dans un pentionna, je n'ai jamais connu mais parents et personnes na jamais voulu m'accueillir dans leur famille. Donc me voila encore, à 18 ans aujourd'hui dans un pentionna. Super histoire pas vraie ? Bref, je sors de la douche et m'enroule dans une serviette. Une fois prête je m'habille puis par dans le grand hall avant que les cours commence. En bas des escaliers je voie mes deux meilleurs amis discuter sur un canapé.
Marvin 'me prenant dans ses bras' : Bon anniversaire Joy' ! Moi : Merci. 'me détachant de lui en lui liassant un sourir' Même si le réveille a était rude. Jane : Rooh. Tu fais la même comédie tout les matins. Moi : Parce que tout les matins tu ne me laisse pas dormir. Jane : Hum. Un jour tu me remerciera. Moi 'sourir hypocrite' : Oui, ou pas hin. Marvin : Bon les filles, tout est réglé j'ai réservé chez Marco, y aura plus qu'à mettre les pieds sous la table. Moi : La chose que j'aime le plus faire. Jane : Oui on sait. Tu est feignante.
Nous rîmes puis fini par aller en cour. La journée passa asser vite. Les cours et encore es cours mais à part sa, tout vas bien dans le meilleur des mondes. RUMH RUMH. Je sors dans le jardan central et m'installe sur un banc. Je joué sur un peux toute les applications présente sur mon iphon mais je m'ennuie quand même. Jane est à son cour de violon et Marvin à son entrainemant de foot. Et moi je suis une no life. Je décide de sortir dans la rue parce que décidément il n'y a rien à faire ici. Je marchai tranquillement et m'assis sur un banc dans un parc public. Quand des cris se firent entendre. Je tourna la tête, une adolescente hurlait à l'aide. Elle était entouré de trois garçons qui la chahuté un peu, beaucoup, et qui essayé de voir sous ses habits sous vous voyez ce que je veux dire. Je regarde autour personne n'y faisais attention ou ne reégissai pas. Prise d'un élan de courage je me leva pour lui venir en aide.
Moi : Laissez la ou j'appelle la police !
Ils se retournèrent tous vers moi. La fille en profita pour s'enfuire, même pas un merci ou un regard. C'est sympa. Je leva la tête et les trois colosses me fixérent avec perversité et un d'énervement aussi. Shit.
Moi : Hihi, vous allez rire. Vous voyez j'ai, je... Premier mec : Tu nous fais partir la fille ! Deuxième mec : Ouais, mais celle la est mieux. Moi 'reculant' : A, a l'aide ?
Personne ne bougé. Lache. Les trois garçons se rapprochérent de moi. Prise de panique j'envoya valser mon pied dans les bijoux de famille du troisième gars. Il se torda dans tout les sens au sol. Il injurer des mots dont je ne connaissais pas la signification pour le plus grand nombres. Les deux autres mecs le relevérent. J'en profita pour prendre la fuite. Mais ils me courèrent après. Je suis dans la merde. Je tourna dans plusieurs rue, jusqu'à tomber dans un cul de sac. Je me retourna et pus les voir devant moi. Je recula tand bien que mal jusqu'à heurter le mur. Mon coeur battait à 1000 à l'heure. Mon souffle se faisait irrégulier. Ils s'approchère de plus en plus. Le troisième m'attrapa le bras fermemant.
Troisième : Alors petite garce, plus moyen de s'échapper ?!
Les larmes coulaient sur mes joues. On aurait pus rêver de mieux pour son anniversaire.. Ma vue se troublée à cause des larmes. Le deuxième et commencer à me tripoter. Et d'un coup les lumières autour de nous éclatèrent, des flammes sortaient des lampadaires. Puis un des trois mecs enleva brusquement sa main de mon bras.
Mecs : putain je me suis brulé !
Le troisième eu la même chose. Je ne comprenai pas.
Premier mec : Quesque tu leurs à fait ?! Deuxième : Ne taproche pas de nous. Démon. Moi : Quoi, je.. excusez moi. Je...
Je ne pas finir que je partie en courant répétant plusieurs fois que j'étais désolée. Quesqu'y s'est passé ? Je courra jusqu'au pentionna ou je m'enferma dans ma chambre. Quesque j'ai fais ? Comment cela a pus se produire. Les larmes dégringolaient sur mes joues. Mince, mais quesqu'y m'arrive. Je dois faire quoi. Je m'énerva et poussa mon pied contre la table de chevet, qui se renversa sous la pression.
TOC TOC
.... : Joyce tes prête ?!
Merde, le resto. J'avança vers la porte et sans pour autant l'ouvrir, répondie.
Moi : Jane, eumh, allez y, je vous rejoind après. Jane : D'accord. Sa vas ? Moi : Oui ne t'inquiète pas. Jane : Ok, à tout à l'heure. Moi : Oui.
Je me laissa tomber contre la porte. Les pas s'éloignèrent. Je respira un grand coup et partie sous la douche. Après 10min, je sortie et fini de me prèparer. Je descendis les grands éscaliers et sortie dehors. En marchant je ressentie une prèsence derrière moi. Comme si des yeux me percé le dos, me faisant bruler toute ma colonne vertébrale. Ma poitrine commence à monter et descendre de plus en plus rapidement. Je me mise à marcher de plus en plus rapidement et fini sans m'en rendre compte devant le restaurant. J'entra et referma la porte derrière moi, me laissant souffler un peux. Je chercha mes amis à une table et les vis rire. Je pris une grande respiration et m'installa avec eux.
Marvin : Et bien t'en a mis du temps. Moi 'gêné' : Désolée, je m'étais assoupis. Jane 'souriant' : C'est pas grave tu est la maintenant. Moi : Oui et j'ai quelque chose à vous annoncer.
Ils me regardérent tout les deux, en fronçant les sourcils.
Moi : Voila, maintenant que j'ai 18ans, je peux partir du pentionna. Les cours j'ai pris beaucoup d'avance restant même l'été. Si je veux, je peux avoir mon dîplome des demain. Marvin : Mais c'est génial ! Jane : Quoi ! Mais attend.. Oui c'est génial. Mais t'irai ou, tu travaillerai ou ? Tu.. Moi 'la coupant' : N'est pas peur pour moi. Je vais prendre un hôtel le temps de trouver quelque chose. Et puis avec tout le spetits boulos que j'ai enchainé j'ai quelques économies pour tenir un mois. Asser pour me trouver un travail. Jane : Mais tu, je.. Moi : Ne t'en fais pas, tout ira bien.
Je lui fis un sourir qui se voulais réconfortant, mais j'ai bien l'impression que sa n'a pas marchai. Je l'ai pris tout le sdeux dans mes bras.
Moi : Sa ira 'souriant'.
Une larme perla sur ma joue, mais Marvin me l'essuya presque directement. On commenda et le repas se fis tout de même dans la bonne humeur.
Marvin : J'ai l'impression qu'on nous regarde pas vous ? Jane : Si, mais je voie personne. Marvin : Je sais, c'est bizarre. Moi : Les gars il c'est passé un truc hyper bizarre cette après midi. Serveur : Sa vous fera 65$.
Je sursauta, et d'un coup la bougie à côtè de moi flemba sous nos yeux ébahie.
Marvin : Comment ta fais sa ? Faut trop que tu m'apprene. C'est trop cool ! Moi : Je euh..
Je me leva tirant mes amis avec moi. On paya vite fais et sortîmes dans la rue.
Marvin : C'est énorme. Faut vraiment que tu m'apprene sa ! Moi 'me tournant vers lui' : Marvin, je sais pas comment j'ai fais d'accord ! Jane : Sa vas Joyce, tes toute blanche.
Elle posa sa main sur mon bras, mais la retira presque aussitôt en poussant un petit gémissement.
Jane 'secouant sa main' : Tes brulante. Moi : Je, euh. Je dois y aller. Je, je vous rappelle. Marvin : Attend .
Trop tard j'étais déjà partie en courant. Je tournai la tête dans tout les sens. J'avais peur. Quesqu'y m'arrivai? Des perles de sueur glisser sur mon visage. Je tourna dans une rue et trèbucha. Merde. Je voulu me relever mais retomba directement. Mon genoux était amocher. Des hommes tournèrent la tête vers moi, puis après une conversation que je ne pus entendre, ils entrèrent dans la ruelle. Mon coeur battais la chamade. Un homme s'approcha de moi et fixa. C'est yeux s'éclairérent d'un coup en un jaune fluau. Et des dents pointus sortirent de ses gensives. Sa tête n'était qu'à quelque sentimètre de la mienne. Qu'est-ce que cette chose ? C'était tout sauf humain. Je rempa vers l'arrière mais il attrapa ma cheville mais faisant pousser un cris de peur. L'autre homme s'approcha et des très long ongle sortie de ses doight. Mais, je, euh.. mais. Quesque c'est ?! Des larmes coulées sur mes joues. Je sais pas ce qu'ils allaient me faire quand une ombre bondis entre eux et moi. Une fille certainement voyans comment elle est même de dos. Elle sortie une harbalette de son dos que je n'avais même pas remarqué et en tira deux dans chaque épaules des deux hommes bizarres. Ils gémirent de douleur et partir en bondissant à quatres pattes. La fille se tourna vers moi me montrant son visage. Elle me tandis sa main pour m'aider à me lever, que je pris après une petite hésitation.
Fille : Sa vas ?! Moi : Quesqu'y s'est passé ? Fille 'partant' : Suis moi. Moi : Quoi ?
Elle avancer, ne regardan tmême pas si je la suivais ou pas. Bon si elle aurais voulu me tuer sa serai déjà fais, et puis je suis pas tellement rassurai dans la rue en ce moment.. Alors je décide de la suivre malheureusement en boitant et donc avec beaucoup de difficulté. On marcha un long moment, et à aucun moment elle se tournait vers moi pour voir si j'allais bien.
Moi 'haletant' : On vas ou ?
Elle ne rpondis pas. Je souffla, faut vraiment que je me remette au sport, j'étais déjà vraiment éssoufler, et je me tordai dans tout les sens à cause d'un point de côtè. Mais elle s'arrêta enfin d'un coup, ce qui fis que je me pris son dos dans la figure.
Fille : Reste la. Moi : Quoi ?!
Je n'eu pas le temps de protester qu'elle était déjà rentré dans une sorte de maison, que je ne connaissais pas. A vraie dire je ne connais pas du tout le quartier. Une forêt longé la maison. Je savais même pas qu'il y avait une forêt dans s'te ville !
Fille : Viens !
Je sursauta, me rendant compte que la fille était devant moi. Je la suivait boitant toujours et en aillant vraiment marre. L'interrieur de la maison était tout ce qu'il y avais de plus banale, mais c'était tout de même joliment décoré. On avança jusqu'à un escaliers qui menai vers le bas. C'est toujous en bas qu'un tuer garde les morceaux de ses victimes.. Une fois en bas, pas de trace de chaire fraiche.. Ouf. Elle poussa une porte et une grande veranda d'environ la taille d'un terrain de foot se trouvait devant nous, c'était illuminé et beaucoup d'adolescent s'y trouvée. Ou je suis ?! Une fille et un garçon je pense plus agé que les autres s'approchèrent.
Homme : Joyce, c'est sa ? Moi 'surprise' : Comment vous connaissez mon prénom ?! Homme 'souriant' : On a tout le temps de disctuer. D'abord tu dois soigner cette blessure. Névia je t'en laisse la charge.
La blonde qui l'avais accompagné hocha de la tête et me tira par le bras en me souriant. On s'installa dans une piéce vitré donnant la vue sur l'étrange endrois ou on se trouvée il n'y a même pas 30secondes. On s'asseya et elle posa ma jambe sur une chaise avec un coussin en face de moi.
Blonde 'souriant' : Je m'appelle Névia. Moi : Eumh.. je... Névia : Joyce, je sais 'souriant'. Moi 'fronçant les sourcils' : Comment vous connaissez mon prènom. Névia : Tu aura réponse à toute tes questions tout à l'heure avec mon père.
C'était son père.. Pourtant, il n'avais pas l'aire d'être vieux. Je leur aurais donné à peine 3ans de diffèrences..
Névia : D'abord il faut soigner tout sa. Enléve ton pantalon. Moi 'écarquillant les yeux' : Pardon ! Névia 'rigolant' : Pour que je puisse identifier ta plaid.
Je me sentis bête.. J'enleva mon pantalon esquissant un petit rire, plus nerveux qu'amical.
Névia : Se n'est pas profond. Sa devrais aller.
Elle plaça ses mains au dessus de ma jambe. Une lumière bleu s'éclaira, c'était comme si, comme si c'est mains aspirait ma plaid. Que.. je.. comment.. que...
Névia : Plis la jambe maintenant.
Je mis du tout à réaliser ce qu'elle me demander puis fis ce qu'elle me demanda. C'était comme si je n'avais jamais rien eu.
Moi : Comment tu a fais sa ?! Névia : J'ai le don de soigner les gens. Moi 'fronçant les sourcils' : Le dons ?! Névia : Oui.
Elle pencha sa main vers l'avant et la tourna à ce que la paume soit face au plafond. Une boule bleu apparut dégageant une énergis puissante. Je me leva d'un bond.
Moi : Quesque tu est ?! Névia 'se levant' : N'est pas peur. On ne te veux aucun mal. Moi : On ? Vous êtes tous.. Névia : Viens. Moi 'reculant' : Ne m'approche pas !
La porte s'ouvris à ce moment la. L'homme de tout à leur se trouver devant nous. Et se tourna d'un coup en rougissant.
Homme : Ho pardon !
Et je me rendis compte que j'étais toujours en souvêtements.Et mon pantalon complétement déchirer à cause de ma chute.
Homme : Je vais attendre derrière la porte. 'claquant la porte' Névia 'me tendant des habits' : Mes sa.
Je la fixa un moment puis abdica. Habillé je me retourna vers elle, qui me fis signe vers la porte.
Névia 'd'une voie rassurante' : Vas y.
Je traina du pas vers la porte. Je ne sais toujours pas ou je suis. Et j'ai personne à appeler, ayant perdu mon téléphone tout à l'heure. J'ouvris la porte et l'homme me dévisagea.
Homme 'me tendant la main' : Greg.
Je le dévisagea. Après un instant il rengea sa main dans s apoche.
Greg : Suis moi.
On avança dans un bureau ou on pris place.
Greg 's'asseyant' : Assis toi.
Je resta debout et le fixa.
Moi 'croisant mes bras autour de ma taille' : Qui vous êtes. Greg : Tu a beaucoup de questions et je premet d'y répondre honnêtement. Mais il faut que tu me promèsse de ne pas prendre peur. Moi : Dite et on verra après !
Il souffla et se frotta la nuque.
Greg : Ton nom entier est Jonathan Peberlande troisème du nom. Et tu est une delawitch. Moi : Une quoi ? Grec : Tu a la maitrise du feu. Moi 'fronçant les sourcils' : De quoi vous parlez ? Greg 'se levant' : Tu a des pouvoirs puissant que beaucoup de personne envie, comme les deux loups garous qui ton agressé tout à l'heure. Moi 'équarquillant les yeux' : Attendez des quoi ?! Greg 's'approchant' : Joyce, ta vision du monde est sur le point de changer.
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